La réforme démocratique—Le projet de loi sur l’intégrité des élections
Publié le 7 avril 2014 Votre période des questions par l’hon. Terry MercerAppuyez sur la touche de lecture/Play pour écouter le fichier audio de la question. Veuillez prendre note que l’extrait audio est fourni dans la langue utilisée par les sénateurs. Les sénateurs peuvent s’exprimer au Sénat dans la langue officielle de leur choix. Pour accéder à la traduction du texte intégral de la discussion, veuillez cliquer ici.
L’honorable Terry M. Mercer : Comme je l’ai indiqué la semaine dernière, les Canadiens s’inquiètent de l’état de leurs institutions publiques, et ils ont des idées pour les améliorer. Est-ce que ce devrait être la représentation proportionnelle? Je ne connais pas la réponse à cette question. Toutefois, je sais que nous devrions discuter des idées de la population dans cette enceinte. Je crois également que, partout au pays, les Canadiens s’inquiètent d’une nouvelle attaque contre notre démocratie : le projet de loi sur le manque d’intégrité des élections. Je ne parle pas des centaines de professeurs, d’intellectuels et d’experts, ni même de notre ancienne vérificatrice générale. Je parle des Canadiens de tous les horizons que le projet de loi inquiète. Ce sont des Canadiens comme Rachel Lankester, de Surrey, en Colombie-Britannique, qui a accepté de répondre au caucus des sénateurs libéraux. Voici ce qu’elle dit :
Comment est-il possible qu’un gouvernement supposément majoritaire qui a été élu avec les votes de seulement 23,79 p. 100 des électeurs admissibles au Canada puisse ignorer les avis d’intellectuels et d’experts, notamment en droit et en sciences politiques, au Canada et à l’étranger, ainsi que le point de vue du peuple canadien et de tous les autres partis politiques, concernant le projet de loi C-23?
Les gens intelligents existent, vous savez. Veuillez appuyer ici pour lire cet échange dans son intégralité