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Les affaires autochtones et le développement du Nord canadien—L’éducation

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Publié le 23 septembre 2014
Votre période des questions par l’hon. Marie-P. Charette-Poulin (retraitée)


Appuyez sur la touche de lecture/Play pour écouter le fichier audio de la question. Veuillez prendre note que l’extrait audio est fourni dans la langue utilisée par les sénateurs. Les sénateurs peuvent s’exprimer au Sénat dans la langue officielle de leur choix. Pour accéder à la traduction du texte intégral de la discussion, veuillez cliquer ici.


 

L’honorable Marie-P. Charette-Poulin :

Honorables sénateurs, ma question s’adresse au leader du gouvernement au Sénat et provient de Mme Colleen Green, de Little Britain, en Ontario. Je vais citer sa question dans la langue dans laquelle elle l’a envoyée.

Dans le Nord de l’Ontario comme dans la plupart des provinces, les élèves des Premières Nations n’ont pas accès à une école secondaire dans leur ville; bon nombre d’entre eux doivent se rendre dans des villes plus au sud. En Ontario, les parents des Premières Nations envoient leurs enfants faire leurs études secondaires à Thunder Bay. Or, un nombre élevé de ces enfants ont été assassinés.

Étant moi-même mère de quatre jeunes adultes, je ne peux pas me résoudre à envoyer mes enfants vivre seuls dans une ville étrange, à des centaines de kilomètres, pour qu’ils y obtiennent leur diplôme d’études secondaires. Aucun enfant ne devrait avoir à risquer sa vie pour obtenir un diplôme d’études secondaires.

Au Canada, l’éducation publique est un service financé par le gouvernement et offert à tous les enfants canadiens. Que fait le gouvernement pour offrir un environnement sécuritaire aux enfants des Premières Nations afin qu’ils puissent poursuivre leurs études?

 

Veuillez appuyer ici pour lire cet échange dans son intégralité